Les allongés (Jeanne Galzy)

Ce roman méconnu a pourtant un goût de Montagne Magique. Sans être Thomas Mann, Jeanne Galzy signe un roman incisif et lyrique, écrit en 1923, pour lequel elle a obtenu le Prix Fémina.

Dans un hôpital de Berck plage se côtoient les allongés. Malades d’âges et de provenance divers, ils étalent à nos yeux leur morbidité et leur faiblesse. Certains sont en voie de guérison, d’autres mourants.

La narratrice raconte comment ils forment communauté dans ce monde rétréci où l’on apprend à apprivoiser la souffrance. Son point de vue n’est cependant pas du tout misérabiliste. Elle décrit comment goûter la vie à travers de tout simples détails, qui prennent un relief singulier, ainsi que dans la contemplation du bord de mer…

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